Il y a 50 ans, le Club de Rome nous mettait en garde contre les effets délétères de l’activité humaine sur la planète. Il publiait pour la première fois un rapport, devenu une référence depuis et intitulé « Les limites de la croissance ». On y découvrait pour la toute première fois une modélisation de l’empreinte écologique humaine. Un travail signé du scientifique Dennis Meadows avec l’aide de trois chercheurs du MIT (Massachusetts Institute of Technologies). Une prise de conscience qui déboucha sur la première conférence des Nations unies sur l’environnement. Elle eut lieu à Stockholm (Suède) en juin 1972.
Un demi-siècle plus tard se tiendra les 25-26 novembre 2022 une nouvelle Université de la Terre à l’UNESCO (Paris). Une septième édition de l’événement sur le thème de « la Vie à l’heure des grandes transitions ». Deux jours de réflexions, de partages et de débats sur des idées novatrices qui répondent aux urgences climatiques, écologiques et sociales actuelles.